Chatomat

Un voyage culinaire merveilleux en 4 escales y compris mignardise pour la modique somme de 40 €. La sélection des vins est aussi rigoureuse et raffinée que les compositions dans l’assiette !
Une valeur sûre … Penser à réserver la salle de service n’est pas très grande!
Et bravo a l’équipe de Chatomat

Nous avons réservé une table l’après-midi pour le soir même, gros coup de chance pour cet établissement longtemps booké à l’avance.
La salle est petite et cosy. Les couleurs sont apaisantes et le volume sonore de l’environnement est parfait: on s’entend sans avoir les secrets de la table d’à coté.
En regardant la carte, j’ai été vraiment déçue. Je né m’estime pas particulièrement difficile, mais dans chaque plat je n’aimais pas au moins un aliment. C’est la première fois que ca m’arrive !
J’ai opté pour un entrée, plat. L’entrée était bonne (velouté de navet, citron confit et olives noires séchées). Le plat né m’a pas particulièrement chamboulée, pareil pour mes voisins, à l’exception d’une purée de panais avec jus de fruits de mer qui était très bonne !
Dans les desserts, strictement rien né me donnait envie, je n’ai donc rien pris. Je précise juste mon état d’esprit: je connais mes gouts, mais je fais confiance au chef pour travailler les produits et me laisser surprendre. Mais là… Les plats étaient tristes, quoi…
Mes amis n’ont pas été spécialement convaincus par leur dessert. La plus grosse déception reste le gorgonzola, marmelade de potimarron: on s’attendait à ce que ce soit quelque chose d’élaboré, mais non, bam ! Grosse tranche de gorgonzola. Comme il s’agissait de la 4eme ligne dans la liste des desserts, à aucun moment on né se serait attendu à ce que ce soit ainsi. Le fromage, quand c’est «vraiment» du fromage, cest en 1ere ligne ou séparé, non ?
Je crois que si vous avez un doute avec cette carte, il faut vraiment demander à la serveuse, sinon vous pouvez être surpris…

Une petite salle quelconque, un petit menu au choix restreint mais appétissant, une seule serveuse mais qui, pour le coup, a très bien compris ce que «au service du client» veut dire… Chatomat c’est une très belle découverte !
Pour un entrée/​plat/​dessert (avec amuse-​bouche et mignardise) à 40 € on peut dire que la qualité est largement au rendez-​vous. Le tout complété par une carte des vins pour toutes les bourses et un service irréprochable.
A ce tarif là, une adresse qui ferait rougir de honte des pelletés et des pelletés de restos lambda à Paris.
Dans la mouvance Foodie bien sûr, mais j’adore.

On aura du s’y prendre à 3 fois avant de réussir à décrocher une table dans cet établissement très prisé.
Quel plaisir d’aller s’encanailler dans le 20ème arrondissement pour aller découvrir la cuisine de Victor Gaillard et d’Alice Di Cagno, tous deux issus des cuisines 3 étoiles (L’Arpège et Ledoyen) avec des expériences très internationales (Amérique du Sud et Asie du Sud Est).
Le restaurant né paye pas de mine, petit et simple, l’ambiance est très intime même quand il est complet.
Pour 40 euros (amuse-​bouche, entrée, plat, dessert et mignardise), on en a largement dans nos assiettes. Quelle prouesse de sortir une telle qualité pour un prix très serré!
Alors on se fait plaisir et on s’est régalé. On partage titres des plats et photos même s’il y a peu de chances que vous tombiez sur un d’eux car la carte change au gré des marchés.
L’amuse bouche était un pur régal :
Ricotta et boudin noir
En entrée, on a testé :
— Velouté de poireaux, chanterelles sautées, moelle et galette de tapioca
— Bonite confite, salade tiède de lentilles et blettes, condiment aigre doux aux graines de moutarde
En plat :
— Cochon, riz croustillant façon paella, moules de bouchot et romaine poêlé
— Canard, épeautre, effeuillé de choux de Bruxelles et jus au citron confit
En dessert :
— Pomme rôtie, ricotta de bufflonne à la nougatine de noix et d’estragon
Sans compter les macarons en guise de mignardises.
Ce restaurant est largement dans le top 10 des néobistrots parisiens. Vous vous offrez pour 40 € un des meilleurs menus qui vous aura été donnés de déguster.

A fantastically perfect meal. The chef couple who run the place, Victor and Alice, truly know how to care for their guests. An unexpected glass of champagne and an amuse bouche of carrots rapée and fresh cheese arrived at the table, setting the tone for the prompt, friendly service and thoughtful dining experience. The dishes were super high-​quality and inventive without pretentiousness. Tender white fish with fresh pea purée, edible flowers, herbs and crunchy breadcrumbs; dorado, perfectly seared, atop bright green sautéed spinach and some obscure, delicious grain (with which they also topped the dish having crispy fried it) fresh celery and herbs; and the dessert — beautifully sweet braised rhubarb with black bean paste and elderflower ice cream. I took notes. It was that good. Oh, and not to forget, the absolutely delicious tiny chocolate tart-​cake, topped with a fresh soaked almond (crispy and unusually delightful with the chocolate) that followed dessert. Like they read my mind. I could eat here every day.

The location is somewhat off the beaten tracks. But it makes it all the more attractive!
–Smoked herring, particularly fondant and well balanced with the crispy vegetable. Loved the Asian-​inspired sauce as well
— Home-​made pasta and lamb sweetbreads. Pasta are great, not over-​cooked. Sweetbreads are soft, just golden and nicely shaped.
–Poached monkfish, beans and basil bouillon. Perfect dish: I don’t particularly like monkfish, but this one is very tasty and the basil touch gives it an extra kick.
–Beef cheek and its baby vegetables arrive for my pal. The meat is incredibly soft and the sauce is tasty
One of our best meals in Paris, and the check doesn’t even reach 40 euros. Reservation is not an option though which is always a bummer…

2 young chefs with sharp knives and imagination + short menu of devilishly executed plates = grilled oysters, dill foam (amuse), squid with cocos de paimpol, red pepper sorbet (entrée), lamb sweetbreads, carrot coulis, bok choy (plat), creamy, nutty coulommiers (fromage), peach, fig, smoked milk ice cream (dessert), chocolate mousse tart (petit four). and l’addition that tickles at 45 € (+vin).

Moment très agréable et cuisine très soignée
L’ambiance est calme et feutrée, le service est très agréable, avec une serveuse souriante et avenante. La salle n’a pas plus de 20 couverts, donc la réservation est quasiment nécessaire. Côté cuisine, un petit amuse-​bouche original pour patienter. Ensuite, une carte courte qui atteste a priori de la fraîcheur des produits, et des associations de goûts assez audacieuses mais très réussies. J’ai goûté 2 vins, chacun nickel. La cuisine est maîtrisée, soignée, bien présentée. En somme un très bon moment avec une addition autour de 40 € avec du vin.

50 euros. Pour ce prix, tu peux parfois t’en sortir avec un plat à peine satisfaisant, un café gourmand n’ayant de gourmand que le nom et un vin pour lequel l’appellation de piquette reste un honneur.
Un conseil, garde tes 50 balles pour le Chatomat, où tu finiras ton repas avec les yeux qui pétillent et le sourire aux lèvres. Ce petit endroit de Ménilmontant, situé juste à côté du bar La Féline est l’une de nos découvertes restaurantesques les plus intéressantes de ces derniers mois.
On lit et relit la carte. Et le choix, bien que limité, s’avère terriblement cornélien. C’est alors que se pointent les amuse-​bouches.
Quelques secondes de doute.
— Mais… J’avais commandé de la dorade en entrée.
Suivies de quelques secondes de joie.
— C’est pas l’entrée, c’est l’amuse-bouche.
C’est que j’ai pas l’habitude, moi, qu’on m’serve plus que c’que j’ai commandé.
Les yeux observent les plats qui se promènent aux alentours. On salive de plus belle. La dorade est à tomber. Le veau, associé à ce petit goût de citron, est un ravissement. Le dessert à la rhubarbe est d’une douceur acidulée subtile. Pour finir, notre addiction au chocolat est même satisfaite lorsque de petits pots de mousse viennent accompagner l’addition, pardonnant un service un peu distrait.
Bref, si tu hésitais encore pour tester le Chatomat, n’hésite plus. Point. Et que ça sauté.

Il y a une espèce de petite routine culinaire qui s’installe à Paris je trouve. Une formule qui semble marcher du feu de dieu: bistro chic et choc (on n’évitera pas le mur de béton et le luminaire cru hein) avec un Chef-​star jeune et un peu rock, un menu fixe entre 25 et 35 euros et une carte des vins qui en impose un peu, comme ça, sans avoir l’air d’y toucher. La cuisine est toujours de saison, light, colorée et moderne– et le tout a une petite attitude bien insolente, un peu blasée.
Entre Septime, Saturne, le Passage, Roseval, le Pantruche, Youpi et Voila ou Rino… On né manqué pas d’options. Chatomat s’ajoute à la liste et né déçoit pas. Mais je commence un peu à me lasser de la formule je crois. A Paris, dès que quelque chose marche, tout le monde se met à faire la même chose, et on se fait assez rapidement un peu… ch*** (Pardon pour le langage). Sans parler du snobisme et de la complaisance autour de ces adresses, par ailleurs louables sur tous les plans (simplicité, saisonnalité, cuisine du produit, produits locaux…)
Comme une petite musique familière qu’on siffloterait sans même le réaliser, on s’attable chez Chatomat en sachant qu’on va bien manger. Qu’on va aussi repartir en se demandant si les 35 euros qu’on vient de dépenser les valait autant que notre dernier diner à ce prix là dans un excellent bistrot… pas hype du tout et inconnu au bataillon.
J’ai bien mangé chez Chatomat, mais je me suis un peu emmerdée, disons les choses comme elles sont. Mon entrée était fabuleuse, un porc croustillant avec une purée de poivrons à se rouler par terre. Un léger sucré-​salé juste suggéré. J’en aurais fait mon plat. Le plat, de la volaille avec quelques légumes verts, était très bien cuit mais manquait de caractère, de pétillance, de relief (Un peu le même problème que celui rencontré chez Youpi & Voila). Le dessert, un abricot avec une glacé au lait et quelques amandes grillées, était d’une délicatesse et d’une subtilité rares, mais un peu timide sur les bords.
J’ai pris un verre de rouge correct sans plus mais un blanc absolument incroyable.
Le service était à la limite du correct. Avec des yeux levés au ciel, une exaspération carrément affichée (quoi c’est parce qu’on a l’air trop jeunes pour te commander la totale? ou c’est que nos vêtements trop colorés jurent un peu trop avec le style austère «trop cool d’être cool» de l’endroit?)
Alors oui 4 étoiles pour la cuisine qui dépote quand même pas mal. Mais si je dois choisir entre Chatomat et mon délicieux petit resto de quartier, pour le même prix, je trouverai en bas de chez moi:
— la chaleur humaine
— la simplicité du repas qui est bon et qui n’a pas besoin d’en faire des caisses
Je compte bien me faire un 2e avis en y retournant bientôt.

Chatomat, ou le bon vieux coup du mythe qui précède l’expérience.
J’en avais bien sûr entendu parler à maintes reprises, toutes plus élogieuses les unes que les autres. Déception assurée? Non, mais.
*Le cadre né m’a pas séduite, du tout. Beaucoup trop aseptisé. Quatre murs blancs à peine décorés, des tables dont je né me souviens même plus, ce qui en dit long.
*Le service, arf, mériterait une seule étoile. Visiblement, nous n’avions pas les faveur de la serveuse, qui nous faisait la gueule à chaque demande, qui apporte le poivre pour nous le reprendre aussitôt, et qui nous a gratifiées d’un sourire plus que forcé.
Points négatifs évacués, passons au positif (relatif, ceci dit) :
*‘L’assiette ! Pas mal du tout, et ça peut. Un verre de vin blanc, dont j’ai oublié l’origine — oui honte sur moi — dé-​li-​cieux. Une petite mise en bouche bonne surprise, malgré une sardine qui aurait mérité une cuisson. Tout court. L’entrée moyenne, la dorade beaucoup trop crue, j’entends par là pas assez marinée et coupée trop grossièrement. Mais, coup de coeur extrême pour mon «quasi» de veau ! Ahhh, moi qui né suis pas viande, j’ai fondu. Aussi certainement que la viande était tendre et goûtue.
Je retiendrai que l’effet ‘vive le produit brut’ entâche la note finale… rendez-​nous les assaisonnement !!

Super découverte
Très très belle cuisine. Des assiettes magnifiques, pleine de fraîcheur, de saveurs tout en équilibre. Seul petit bémol: malgré nos remarques sur un rouget que nous trouvions un peu fort, la serveuse n’a pas été très à l’écoute et nous a un peu pris de haut.

Quel autre plus beau prétexte que celui de retourner ravir mes papilles chez Chatomat pour l’anniversaire de ma mère. J’avais déjà été conquis par cette cuisine débarrassée de tout reliquat, incisive et à la fois inventive. La limpidité de leurs compositions est bouleversante, la fluidité avec laquelle les créations prennent forme me désarme à chaque bouchée. Une glacé aux petits pois admirablement bien exécutée qui prend tout son sens avec ce baba infusé à la menthe qui glisse et caresse le palais tendrement. Ce tarama de crevette qui associe rondeur et volupté, le tartare de veau à la mache tendre qui vient répondre aux notes herbacées de la crème d’estragon… Je pourrai m’arrêter sur chacune des notes des plats mais j’aurais peur de vous perdre en chemin. Encore une fois Chatomat m’a prouvé que ce n’était pas une de mes tables de coeur pour rien. Hommage à deux chefs hors du commun.

La carte est vraiment top, les prix sont minis et la nourriture est délicieuse. Cadre épuré et sympa. Éclairage a revoir ainsi que la carte des vins.

Cette table mérite définitivement toutes les louanges qu’on lui porte!
La salle est toute petite, une vingtaine de couverts je dirais mais j’ai pu aisément avoir une table en semaine quelques jours à l’avance.
Je pense sincèrement que le trio culturel de l’équipe (franco-​italo-​portugais) participe à l’alchimie de l’endroit.
La carte (3 entrées/​plats/​desserts au choix) est inventive, bouscule les codes, les textures et le service nous laisse libre de savourer notre repas (et vin) en toute sérénité.
Quant à l’addition, comptez une dizaine d’euros pour l’entrée, une vingtaine pour le plat et 6 – 8 pour le dessert. Vraiment, c’est cadeau.
Mon conseil, courez-​y!

Quelle déception !
Accueil adorable certes, mais j’aurais aimé un peu d’amour dans les assiettes aussi !
Tout a été fade durant ce dîner: les viandes trop cuites, les légumes semblaient juste bouillies et découpé, pas d’assaisonnement…

Le chatomat par opposition au Chateaubrillan sont des gens cool. Non sans blague, quelques clin d’oeil plein de finesse au Bresil, à la mouvance actuelle avec tout plein de gimick un peu factices alias poudre d’olive noire caramélisée, quelques dressages types carthographique mais ça va se trouver un sens, une personalité propre rapidement: je me suis pris un pied fou avec les artichauds jambons, l’agneau aubergines, l’acai; merci à ces trois là qui vous nous faire saliver.

Chatomat, charmante adresse du 20e, nichée dans une petite rue dicrète, cette nouveauté vous assure fraïcheur, simplicité et convivialité. Que vous y veniez en grande tablée (comme nous) ou en petit comité, Alice, Victor et Antonio sauront vous accueillir et vous faire partager un moment délicieux. Côté Mets, nous attribuons une mention toute particulière pour le celeri rave en croute de sel, champignons de Paris et parmesan. Mmmm on en veut encore!