Dosanko

Dosanko est une chaîné de ramen venue récemment, directement du Tokyo. Encore une offre japonisante dans la fameuse rue Saint-​Anne ou aime bien voir apparaitre des nouveautés.
La force de Dosanko c’est de proposer des menus à un tarif très competitifs, et cela devrait faire un peu bouger les adresses qui sont installés ici depuis des années. Un autre avantage est la proposition d’un ramen végétarien qui permet de faire découvrir le ramen à tous!
J’ai un souvenir plutot neutre de cet endroit, qualité des aliments moyenne, certains produits sont des surgelés.
Le service est sympa et très rapide.
Pas sûr d’y retourner, sauf si les autres restos sont blindés dans le coin.

C’est une bonne adresse pour les ramen, peut être pas la meilleure de la rue saint anne mais les ramen sont plutôt bons et le personnel accueillant, j’ai bien aimé les gyoza par contre la viande dans les ramen un peu moins, les menus sont entre 12 et 16 euros si je me souviens bien.

My favorite ramen place anywhere… especially when you consider bang for the buck. The servings are large and reasonably priced. You know when you eat ramen and you have to portion how much of the «meat» you eat so that there’s enough for the entire meal? Well, you don’t have to do that here. I always get the seafood ramen and by the time I’m nearly done with my noodles and soup, I’m usually thinking that I need to eat more of the seafood with every bite because I’m about to run out of noodles and soup while there’s plenty of «meat» left.

2e essai chez Larmen avec un ramen au beurre et sel. J’avais peur d’etre déçue car j’avais beaucoup aimé ceux au miso blanc avec un bouillon assez laiteux. He bien je me suis régalée, c’était très bon, j’ai tout fini meme la soupe. La viande est vraiment très gouteuse. Aucun problème pour la saisir quand on a l’habitude de manger avec des baguettes…

We tried to go to another Unilocal rated ramen place nearby but it is closed and relocating so we came back to Dosanko as we had passed it on our way by. It was really good! Nice serving for 10 euros but next time I’ll get the Grande. The noodles were perfect and it may have been the best shoyu I’ve ever had. Yummy! I think we’ll be back again before we leave Paris.

Très bon ramen. Un des meilleurs de Paris. Il faut s’attende à attendre un peu si on est en groupe. Les ramens sont déjà assez salés.

Idéal pour un late-​night-​ramen quand toutes les autres bonnes adresses du quartier ont baissé leur rideau.
Les prix ont un peu augmentés, mais le rapport qualité-​prix reste honnête.
Les gyozas sont bons, les nouilles fraiches goûteuses et pas molles. Le bouillon tue !!! On peut le voir cuire depuis la vitrine du restaurant.
La déco est inexistante, ça sent le graillon et les toilettes font un peu peur.
Mais c’est efficace, pas cher, bon et 100% japonais !!!

Bön Ramen aux légumes avec de très bons gyozas aux poulet.

Nouvelle expérience de «Larmen» dans ce quartier.
Dosanko rentre dans ma liste des micro restaurants. Pas plus de 20 couverts à la fois c’est sur. Habillez vous chaudement pour les places à l’entrée car la porte est souvent ouverte. J’ai tenté le «Larmen» petit avec option oeuf, mais et plus de porc avec la sauce miso haricots rouge.
La cuisine au premier plan permet de voir comment se fabrique le plat. A partir d’un bouillon, les ingrédients sont rajoutés dans le bol. Rien né cuit en même temps donc.
Le bouillon est pas mal mais reste classique. Les morceaux de porc sont trop épais et difficilement mangeables avec des baguettes. Si quelqu’un à une technique je prends ! L’oeuf servi entier est aussi difficile a attaquer et en plus il flotte dans le bouillon !
Dans l’ensemble, ce n’est pas mal mais je connais mieux à quelques mètres de là…

Pas le meilleur du quartier. J’avais envie d’essayer car il y a souvent la queue mais n’ai pas été 100% convaincue du résultat. Mon ramen était bon, sans plus. Par contre la promo sur les gyozas vaut vraiment le coup: 3,5 € les 7, ça défie toute concurrence!

De passage à Paris et envie de gouter à un plat que je n’avais jamais mangé !
Me voici rue Sainte Anne et je finis par rentrer au Dosanko, appelée par l’envie de manger du bouillon japonais par cette froide journée.
Je rentre et je fais un peu la queue. J’en profite pour regarder la carte des ramen proposés: «oh flûte c’est des photos avec peu d’explications» (la dernière fois que j’ai choisi un plat sur photo je me suis retrouvée avec une soupe à base de tripes. un gros fail mais ça m’arrive souvent ça les fails) .La serveuse m’explique et j’opte pour un ramen au miso rouge et des raviolis.
Je m’installe et je me sens dépaysée, un peu comme une touriste en vacances au Japon… et j’adore ça, ça présage d’un bon repas !!
Les raviolis sont bons, sans plus… et le bouillon a bon goût, une saveur qui rappelle la soupe servie dans les restos japonais à sushi, même si le contenu du bouillon est complétement différent (maïs, oeuf mollet, pousses de bambous…) la viande de porc est fondante, je fais bonne chère même si je suis pas complétement satisfaite: les nouilles de blé sont trop fermes à mon goût et assez farineuses !
J’ai fini par laisser une partie de mon plat: plus faim et un train que je né voulais pas rater !
Au final, j’ai trouvé l’endroit assez dépaysant, le service est sympa et très efficace!
Contente d’avoir pu découvrir ce qu’était le ramen ! et je me dis qu’à l’occasion je tenterais celui au miso blanc !

The first time I went I ordered the large standard white miso, which included bamboo shoots, bean sprouts, chives, ground pork, roasted pork, and a mellow rich broth. It was 10 Euros and HUGE. I ordered a large because 1) I am now used to Parisian sizes being small, so I thought a large would be equal to an American medium, and 2) I was very hungry, so I thought I could manage to eat most of it. I was wrong on both counts. The bowl was about 10″ in diameter and I ate just about half of it.
On another rainy cold day, I returned and ordered a small bowl:) This time I chose the red miso with the addition of egg, corn, black sesame seeds, and two slices of roast pork in addition to all the ingredients in the standard bowl for 13 Euros.
Halfway through, I knew I would not only finish this wonderful bowl, but I would reorder the red miso next time. The flavor was much richer and I loved the perfectly cooked soft boiled egg. They offer menus which include 4 gyoza for 3 Euros more, but the small bowl filled me. They also have a soy and butter (???) option, and curry and rice dishes, but come here for the red miso larmen and you will go back out into the cold with a smile:)

Dosanko Larmen (why Larmen? pourquoi pas Râmen ou Lamen pour les occidentaux?) est la nouvelle enseigne qui remplace Taishoken 1 mais le staff est resté le même.
A la base partis pour déguster des Takoyaki (qui n’était pas ouvert à ce moment-​là, on s’est dit «Allons faire des tests».
Finalement le test s’est senti un peu «mitigé»…
Nous avons pris chacun un aka neri râmen qui n’était pas du tout mal au niveau du bouillon… … Mais manger un ramen pas assez chaud, n’est pas du tout bon! pas du tout bon!!!
En plus l’oeuf qui accompagnait le râmen était bien froid ce qui n’a pas aidé au bouillon.
En plus bizarrement les nouilles étaient très très fines. Jamais connu auparavant, peut-​être un type de nouilles râmen.
Les gyoza qu’on avait l’impression de sortir des sachets surgelés…
Prix plus cher qu’auparavant pour pas grand chose.
Le staff est toujours aussi sympa, mais là, déception dans le plat.
Je pense que je né reviendrai pas, malgré un staff super!

Un nouveau spot à ramen qui vient direct du Japon. dont la spécialité est le miso (rouge ou blanc).
En deux mots, c’est meilleur que la plupart des ramen de sainte-​anne (ce qui n’est pas dur) mais ça reste en-​dessous de kotteri ramen ou des restos à udon: les nouilles.
Les nouilles sont fines mais moins bonnes que celles de kotteri, par contre le bouillon (miso rouge) est moins grasse et plus de goût.

Ramen (e) toi !
Dosanko Opéra est dans la continuité de son prédécesseur qui était au même endroit. Seule la décoration, plus dans l’esprit des restaurant de quartier du japon et l’enseigne semble avoir changé. Et c’est tant mieux ! Car on y trouve parmi les meilleurs Ramen et autres boeuf mijoté de Paris. Les prix ont légèrement augmentés, mais cela reste très raisonnable. Excellent rapport qualité prix !

Dosanko, le nom m’est tout à fait familier car je suis née et ai grandi à Hokkaido: dosanko veut dire quelqu’un d’origine d’Hokkaido. Mais ce nom est utilisé dans plein de chose (l’émission télé, le magasin, la ferme, etc). C’est une sorte d’expression pour dire que ça vient d’Hokkaido.
Bizarrement je né me rappelle pas d’avoir mangé chez eux, mais apparemment parce qu’il n’y avait pas de franchises à l’époque. De plus il semblerait que la première enseigne s’est développée à Tokyo…
C’est donc avec un sentiment déjà mitigé que je pars à la découverte, et cela n’a pas changé après avoir goûté leur ramen.
La déception commence dès le départ car il n’était pas servi très très chaud. Même chose pour gyoza.
Un ramen tiède, déjà ça n’ira pas très loin pour moi.
Le bouilon à base de miso blanc était bon. Les nouilles étaient très fines, consistantes mais très farineuses. Et vers la fin elles m’ont donné une sensation étrange et inhabituelle. Aussi peut-​être parce qu’un gros tas de nouilles était collé au fond du bol, et que je n’ai pas pu terminer, tellement il y en avait.
Comme c’est déjà dit dans l’avis précédent, le grand bol est gigantesque. Je pense qu’il y avait 2 fois plus de nouilles que la taille normale.
Bref, la déception car j’aurais voulu que ce Dosanko soit une vraie alternative de Naritake et que ce n’est pas le cas pour moi.
Je trouve les prix chers pour la qualité, même si le service est très bien.
Il né fait pas d’exception de la plupart des ramen-​ya à Paris: plus cher qu’au Japon mais n’atteint même pas au niveau moyen de là-​bas.
Mais je repasserai pour tester un simple shoyu ramen et un aka neri (miso rouge).

Anciennement le Taishoken, le concept du bar à Ramen n’a pas évolué.
Par contre les recettes ont changées. J’ai trouvé mon Ramen plus goûteux quoique un peu plus gras qu’auparavant.
Le personnel n’a pas changé, toujours aussi efficace.
Le bar est tout petit, même si une salle permet d’accueillir un groupe.
Ce bar à Ramen est une bonne adresse pour les amateurs de Japonais sans sushi

Sub-​par for Japan = above-​average Paris /​/​Pas terrible au japon mais pas mal pour Paris
[English version below]
Quand je suis arrivé sur Paris, j’ai essayé de tester toutes les cantines de ramen autour de la rue Sainte-​Anne et j’ai décidé que Taishoken était le meilleur. C’était franchement vraiment médiocre mais il n’y avait pas beaucoup de choix (ce qui reste la case aujourd’hui) et même ma mère (qui est japonaise) l’a déclaré juste «acceptable» car c’est malheureusement c’est pas le même Taishoken qu’à Tokyo, celui qui a inventé le style «tuskemen» de ramen. En fait, les deux enseignes n’ont rien à voir.
Au fil de temps des autres meilleurs options se sont présentés donc j’ai arrêté d’aller chez Taishoken. Et alors j’ai remarqué la nouvelle façade, nouvelle carte et le nouveau nom: Dosanko. Malheureusement c’est le même Dosanko qu’à Tokyo (et encore +1000 autres emplacements au Japon) — vraiment médiocre et ce qu’on attend d’une grosse chaine: Des nouilles suffisamment fermes mais tout à fait industrielles, des gyoza parfaitement cuits mais mouilles et sur-​travaillés à l’intérieur et une grosse manqué de raffinage dans le bol.
Tout cela dit, la soupe est vraiment délicieuse, notamment les spécialités de la maison d’akaneri (miso rouge) et de shironeri (miso blanc) et la nouveauté des gros morceaux généreux de chashu (porc rôti) qui rendent Dosanko une valeur sûre si le fil d’attente chez le voisin Naritake est trop insupportable.
Les gros mangeurs, attention: La portion o-​mori (grande) est ludiquement gigantesque comme au Japon, et même en tant qu’aspirateur de nouilles, j’ai eu du mal à le terminer !
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When I first got to Paris, I tried out all the ramen joints around Rue Sainte-​Anne and decided on Taishoken as the best. It was actually stunningly mediocre, but the choices were (and are still) relatively slim, and even my mom (who is Japanese) declared it as only «acceptable,» as unfortunately it’s not the same Taishoken as in Tokyo, the one that put tsukemen style ramen on the map. In fact, it had nothing to do with it.
Over time, a couple of much better options showed up, so I stopped going to Taishoken altogether. And then I noticed a new façade, new menu, and a new name: Dosanko. Unfortunately, it is the same as Dosanko in Tokyo (and over 1000 other locations around Japan) — truly mediocre and what you’d expect from a giant chain: Pleasantly springy but obviously industrial noodles, perfectly cooked gyoza that are however mushy and overprocessed on the inside, and a serious lack of refinement in the bowl.
That said, the broth is truly delicious, particularly the house specialties of akaneri (red miso) and shironeri (white miso), and the novelty of generous, thick-​cut chunks of chashu (roast pork) make Dosanko worthwhile if the line at Naritake down the street is too long to bear.
Big eaters, take note: The o-​mori (large) portion is as ridiculously gigantic as you would find in Japan, and even as an inhaler of noodles, I had trouble finishing.