La Mère Brazier

Ayé j’ai craqué, pour un double anniversaire me voilà emmenant ma maman et nos moitiés a la mère brazier. Et quel moment c’est hyper fin ! Le service est comme on peut s’en douter a la hauteur toujours prevenant et anticipant nos moindres début d’idées.
Nous nous sommes fait plaisir et même si la douloureuse le fut réellement cela valait le coup. Et puis le homard bleu et la dinde de Bresse … Miam… Quel moment!

Tres belle adresse, certainement l’une des plus belles tables de Lyon.
La cuisine est maîtrisée, avec de la créativité mais pas d’excès de zèle.
Les petites attentions qui jalonnent le repas comme la petite Madeleine chaude sont typiquement le genre de détails qui rendent un repas gastronomique de qualité encore plus agréable, et ce restaurant semble l’avoir bien compris.
La carte évolue régulièrement mais depuis ma première venue, peu après la réouverture de l’établissement, la qualité demeure intacte.
Assurément un incontournable de la gastronomie lyonnaise, et un bon moment quelle que soit l’occasion (affaires, détente, célébration)…

Est-​il encore utile de publier un avis sur cette maison de belle réputation? Ma foi quand c’est bien, ça fait jamais de mal ! Nous découvrions Lyon et vivre un grand moment de gastronomie pour les épicuriens que nous sommes ça né se refuse pas ! Nous avons choisi essentiellement les plats de tradition de la maison et n’avons pas été déçus !! De tradition il en est c’est vrai, mais le chef Vianney sait aussi apporter beaucoup de modernité; le Paris-​Brest en est un exemple; tout y est dans les ingrédients et pourtant on se laisse surprendre= le bonheur ! Pour le reste; l’accueil, le service, le cadre; rien à dire tout est parfait à l’image de la traditionnelle grande maison. Le patrimoine gastronomique à la française se porte bien !

Menu dégustation pour un anniversaire avec accords mets et vins.
Une cuisine très fine et inventive du début à la fin: mentions spéciales pour l’araignée de mer aux condiments et agrumes et pour le concombre acidulé accompagné des mignardises en dessert.
Les vins sont extraordinaires et subliment les plats. Petit plus pour des profanes comme moi, une sommelière qui nous raconte leurs histoires et leurs spécificités.
A faire au moins une fois si votre bourse vous le permet!

Items Ordered:
Lychee Juice
Meat Pie, Bresse Chicken with Foie Gras, Black Cherry Jam
Country Loaf and Baguette with Salted and Unsalted Butters from Brittany
Cold Tomato Gazpacho with Vegetable Ragout, Almond Cracker, Goat Cheese
Artichoke and Foie Gras No9
Scallop Mousseline, Lobster and Young Vegetables, Absinthe Shellfish Juice
Veal Apple Viennoise Sweetbread, Carrot Cream and Cumin and Woodland Mushroom
Mature Cheeses with Fruit Bread — Renée Richard, Didier Lassagne and Jean-​Yves Bordier
Warm Madeline with Ricotta Ice Cream
Paris-​Brest, Caramelized Hazelnut Ice Cream, Praline
Mignardises
A bastion of refined French cuisine since its inception, and currently a recipient of two Michelin Stars with Three Star heritage under the legendary Eugenie Braziere, it seemed senseless to leave Lyon without visiting La Mere Brazier, and although some have dubbed it a culinary museum not on par with the likes of Bocuse’s L’Auberge du Pont de Collonges the experience itself proved a worthy lunch as I sat with several French businessmen in one of several rooms spread throughout the building’s two-​floor expanse.
In recent years toqued by Mathieu Viannay, a significant presence that has seen a menu still loaded with tradition modernized to current times in a la carte choices, tasting menus, and business lunch specials, it was perhaps shortsighted to consider a sampling of the restaurant’s iconic dishes absolutely essential for a first time visit, but electing to enjoy Alain Milliat’s Lychee Nectar alongside the Classical menu as would have been prepared 94 years prior the food served spoke to timeless techniques and robust flavors found at any number of local bouchons and bistros, in some cases similar but in most simply more refined.
Truly a tasting menu, the three savories followed by cheeses and dessert flanked by canapes and mignardises at the cost of 120 €, service at La Mere Braziere speaks to refinement without all the seriousness of a place like Pic and providing the table with a young man who spoke spotless English it was mere moments after ordering that a sampling of the Chef’s Meat Pie landed on the table, each bite of the en croute version loaded with the rich sapor of liver but scaled back through the use of jam and pistachios making it far more sweet than other versions tinged in aspic, but delicious just the same.
Next receiving a crusty round of bread paired to two butters from the legendary team at Bordier it was only with the greatest restraint that one resisted filling up before the meal itself even began, but with tomato gazpacho soon in hand and baguettes plus two preparations of foie gras alongside several styles of artichoke soon to follow any thoughts of moderation immediately went out the window, each slice of seared lobe featuring the slightest crackle before yielding the unctuous center while the lightly salted terrine topped with just a touch of acid was the very definition of creamy, particularly when spread across a thin slice of crostini.
Left to enjoy the liver while other tables in the small room filled, it was not long after finishing that servicewear was replaced and a pool of orange centered by a quenelle of scallop amidst lobster in addition to vibrant vegetables sat before me, and although slightly smaller than versions less rarified there is little doubt that the ingredients entailed were on par with any of the city’s top tables, each bite a balance of soft and snappy with the butter poached crustacean and a sauce of its shell so thoroughly intoxicating that wiping the dish clean came without a second thought, a total disregard for anyone who may have been looking on.
Clearly accustomed to quickly paced lunches for the folks who had to return to work, it was only after asking if service was too fast that the final savory was brought, and reportedly harvested from a 7-​month calf in order to maximize both size and texture the baseball sized sweetbread was pure bliss served atop split peas, carrots, and mushrooms — the glands signature suppleness given the full spotlight beneath spices rendered crisp by the lightest of pan sears.
Somewhat limited in cheeses, though still featuring a few favorites aged to perfection alongside fruit bread studded by nuts, it was with a warm Madeline plus smooth ice cream that the palate was cleansed before the meal’s sweet culmination arrived, and although atypically shaped one would be hard pressed to name a more lavish reinterpretation of the Paris Brest, a juxtaposition of two creams and nuts served between choux layers with nearby hazelnut ice cream presenting an almost identical profile of flavors, the dessert in its entirety touching a multitude of tastes, textures, and temperatures at once.

Et bien non, l’assiette né fais pas tout.
On est dans du haut de gamme, on s’attends a quelque chose d’exceptionnel pour un petit diner en amoureux.
Placé à côté d’une grande table bruyante, ok ils né pouvaient pas prévoir le bruit, mais c’est bien mal parti.
Commande de deux menus dégustation, un avec accord mets et vins, pas le second, ils ont retiré le verre pour le second et pas proposé d’alcool. Il a fallu demander une bouteille d’eau puis quémander du vin au verre.
Alors oui, les assiettes qui arrivent sont superbes, l’araignée de mer est à tomber, le plateau de fromages est original. Mais les couverts né sont pas toujours sur table quand les assiettes arrivent, le vin pour le fromage est arrivé alors qu’ils avaient débarrassé l’assiette de fromage… et toujours ce moment extrêmement désagréable ou il faut attendre une heure avant d’avoir l’addition et une heure avant d’avoir la machine à cartes pour régler, tant tout le monde semble subitement occupé ailleurs.
Cela n’aurait de toute façon pas changé l’avis sur un service qui dessert complètement une cuisine excellente. C’est bien dommage.

Par où commencer? Peut être par une requête auprès de Unilocal pour pouvoir mettre un 6 étoiles dans certains cas exceptionnels. Par exemple… Pour la mère Brazier.
Inutile de parler du prix, c’est un deux fois étoilés donc l’addition sera prévisible.
Toutefois pour avoir eu la chance de tester à plusieurs reprises du Bocuse et autres restaurants haut de gamme pas déconnant, je peux vous garantir que ce restaurant se place en haut de l’affiche.
Vous y trouverez une cuisine contemporaine mais gardant le produit en considération principale. Les mariages entre la cuisine traditionnelle de la mère Brazier et l’œil novateur du mof Mathieu Viannay sont sublimes.
Je suis tentée de vous détailler la carte, les associations entre Asie et Occident, sucré et salé, mais ça serait une erreur de ma part.
Je suis allée à la mère Brazier sans regarder la carte ou les critiques qui pouvaient en être fait et je né le regrette pas.
Laissez vous guider et savourez. Promis, ça sera sublime !

Highlights: smoked butter and escargot ravioli. Everything else was good but not exceptional. Minus a star because my light, fluffy, delicately flavored white fish was served on a very salty, strongly flavored sauce that would require a strong meat. In fact, the sauce served on my fish was the same sauce served on my husbands meat. Perhaps this was a mistake in the kitchen, but it entirely ruined the fish. The fish would have been much better with a basic lemon butter sauce. We came for lunch and there were two menu options. one came with entrée, plate, wine, water and coffee. The other was entrée, plate and dessert. My husband chose the drinks and I chose the dessert. I recommend choosing the drinks rather than dessert. After our main plates, there was a course of ice cream and another of petite fours. This was plenty for dessert and we did not want any more sweets. When my desert did arrive, it was OK, but nothing special. After my husband had his coffee, we were also offered caramels, chocolates and marshmallows, which was another course of sweets that I did not need. I would have been happier with a glass of wine and coffee instead of dessert. The staff was excellent, and the ambiance upscale. I image the high prices are a reflection of the cost of keeping such a large staff. Overall, I would not recommend a visit here, as there are two restaurants on the same block with, in my opinion, better food and much better prices with very friendly staff.

Décidément je n’ai pas de chance avec grand restaurant je trouve la cuisine vraiment pas à la hauteur de la réputation.
Le goût n’est pas toujours à la hauteur même les présentations.
En outré l’organisation du service était pour ce type de restaurant catastrophique. Le stagiaire de même pas 18 ans voulait se suicider à chaque fois qu’il regardait les feuilles de commande.
Le chef de salle avec ses phrases toutes faites semblait suranné. Il disait à toutes les tables lorsqu’il laisse le menu «Je vais vous faire un peu travailler» WTF!!!
Lorsque je commande un verre de vin rouge et demande conseil à La Sommelière sa seule réponse à «un vin équilibré et moelleux» est je vous amèné à Bordeaux. Il était d’ailleurs plutôt moyen niveau goût et complexite aromatique et pas équilibré.
Mon risotto à l’encre de seiche et la morue était trop salé et quasi immangeable.
Quant au dessert Paris-​Brest je l’ai trouvé extrêmement gras et indigeste difficile en fin de repas nous l’avons à peine touché.
Sur l ensemble du repas beaucoup de choses bonnes. Une excellente mise en bouche. Le plat de christelle était bien bon. Très bon chariot de fromage. Le pâté en croûte entrée de mon menu était bien bon aussi.
Un beau gâchis en ce qui me concerne. On vient pour l’exception la cuisine j’ai malheureusement ressenti un peu de faiblesse culinaire.
À ce prix-​là et ce niveau d’exigence rien né doit être moyen et encore moins mauvais.

Simply the best… no other words can describe this wonderful place…
I asked if I could scatter my ashes there !!

Alors, c’était comment rue Royale ?
Ma sensation initiale de Maman Brazier, ce fut l’effervescence de la cuisine. En entrant, c’est la première chose que l’on voit, là, tout de suite à gauche. Cette vue furtive n’a duré que 2 ou 3 secondes, mais j’ai senti que ça usinait autour du chef ! La disposition globale du lieu est singulière, car ici pas de grande salle, mais une succession de petites pièces au rez-​de-​chaussée et à l’étage. Du coup, c’est un calme plein de sérénité qui s’installe une fois assis. Avec une pointe d’excitation aussi, car l’on se retrouve dans l’un des lieux qui a vu naître la gastronomie française de la première moitié du XXe siècle. Mais aucune pesanteur: l’accueil est chaleureux, franc, détendu. L’équipe est d’ailleurs jeune et entretient le dialogue durant tout le repas. Un merci particulier à la sommelière, qui a su nous conseiller un Saumur, alors que ce n’était pas notre idée de départ. Ce «Clos des Carmes» 2010 du domaine Guiberteau, ce fut un vrai régal savouré à chaque gorgée !
Bön oui, mais le repas ?
On se sent bien chez Maman, très bien d’ailleurs. La tonalité dominante que j’ai ressentie au fil des plats, c’est la sensualité. Ce peut être difficile d’expliquer le charme qui nous touché chez quelqu’un, ce qui n’empêche pas de le ressentir. Évidemment, ce mystère peut être encore plus excitant. Comment le décrire? Des plats raffinés, sans fanfaronnade, qui enchantent par leur subtilité et l’originalité des associations. Une finesse de saveurs, des matières premières sublimées par le talent d’un véritable artiste. Je vous laisse découvrir le détail du menu dans les légendes des photos. La séduction qui m’a saisi, elle venait du mariage réussi entre surprises et plaisirs: le flirt gracieux entre crustacés et agrumes, l’étreinte puissante alliant truffe et champignons, les ébats croustillants du citron vert et de la cacahuète.
Ah bon, à ce point-​là ?
Hé oui, Maman Brazier et son fils spirituel Mathieu m’ont bel et bien envoûté ! Après cette initiation par le menu dégustation, je compte bien retourner à la «maison», découvrir le pâté-​croute et la poularde demi-​deuil !

La meilleure table lyonnaise a l’heure actuelle ! Une carte fantastique… de savantes compositions… Bravo !

Un restaurant de qualité. Un personnel discret et ultra efficace. Une cuisine digne d’un étoilé. Mets à servir un peu plus chaud cependant.

Incontestablement une des meilleures adresses à Lyon. Nous avons opté pour le menu dégustation. Chaque plat fut un délice de saveurs. Le chef a su agrémenter les éléments traditionnels d’accompagnements et d’assaisonnement plein de peps et de modernité. Mathieu Viannay a même pris le soin de faire le tour de la salle pour saluer ses convives et recueillir leur impression.

This was my first time in a two star Michellin restaurant so I was pretty excited. Décor, service and presentation were all first class however I tried the menu de saison for 70euros (plus tax). It’s supposed to be three courses but as usual there are little surprises. A small cucumber lobster soup was a nice surprise but my entrée, main and dessert were not fantastic. They tasted good, but not great. The foils gras entrée needed more salad to offset the fat and pastry and was a little dry, my duck with raspberries was great, but the accompanying vegetables with onion and tomato was too tart and the desert of chocolat spheres was just too sweet. I had a sugar rush at the end if the meal and had to jog up a mountain to get my blood sugar back to normal.
Also the wines by the glass were very small, almost half the US and AUS size. The cote du Rhone rosier was very good @ $ 14 a glass. Lunch for one came to $ 115 euros.

Attention les yeux merci et encore merci a deux pas du ventre ville… Et oui explosion de saveur sommelier aux petits oignons malgré l’étroitesse des lieux un incommensurable plaisir partagé, cela est rare et onéreux mais une extase né s’accorde que rarement avec un budget

Nous arrivons devant l’établissement un voiturier nous accueille et s’en va avec notre voiture. Whouuu déjà la première impression est bonne. Nous voilà dans un lieu chargé d’histoire. La décoration est sobre, chic, raffiné avec des photos d’époques. L’ambiance est intimiste, c’est très agréable.
On nous conduit gentiment à notre table. Tout est soigné jusqu’au moindre détail. Et là, on se dit quand même on est dans la cours des grands et quand on a la carte dans les mains cette impression se renforce. La carte est composée de plats issus de la cuisine française. Ces derniers sont revisités.
Un conseil, né prenez pas de goûter avant de venir car si vous opter pour un menu dégustation vous risquez d’être rassasiée avant la fin du repas. Ce fût mon cas.
Cette soirée a été une expérience incroyable. Le goût était vraiment à l’honneur. Chaque bouché m’a transporté, il y avait une finesse dans les plats. Je n’ai pas de mots pour vous faire comprendre le plaisir que j’ai pu avoir. Les personnes pour nous services ont été mais au top, présents pour nous accompagner dans la dégustation, le choix des vins, nous apporter ce qu’il nous manquait sans que nous aillions besoin d’en faire la demande et à la fois ils ont été tellement discrets.
C’est une adresse qui mérite largement ses éloges. Si vous voulez faire plaisir à quelqu’un vous pouvez y aller les yeux fermés.
Au niveau prix, comptez 95 euros pour un menu à 2 plats et 140 euros pour un menu dégustation.

Drink:
–Sommelier Denis Verneau has composed a fairly elaborate yet affordable French wine list with a number of wines available by glass, Demi bottle (31– 132 €), full bottle (30 – 4600 €), and even magnum (74 – 2050 €)
–We both started with glasses of Moet Cru. At the recommendation of our server, we then moved onto a wonderful ½ bottle of Meursault, while I later tried a white port. I had told him I tend to like somewhat sweeter wines, which he apparently interpreted quite liberally indeed. Thankfully, it was so delicious, I didn’t mind drinking it with my meal. My partner tried it and liked it so much, he finished his dessert with a glass of his own.
Food:
–Best described as traditional cuisine updated with modern techniques, presentation and seasonal ingredients
–The menu can be ordered a la carte divided into appetizers (35 – 55 €), fish (55 – 80 €), meat (50 – 60 €), and desserts (20 €). There are also a number of tasting menus from which to choose ranging in length and price — 70 € for 3 courses, 95 € for 4, 115 € for 5, and 140 € for 6. Having battled through a lengthy meal just the night before and coming to appreciate that 3 courses in Lyon is enough to feed a family of four, we opted to just go with that and share each course. In the end, with all the extra small courses and amuses, it ended up being far more than just 3 dishes each.
Ham & Herb Loaf with Herbed Sour Cream
Delicious moist savoury cake that was absolutely delicious dipped into the tangy rich cream.
Salmon Tartar in Cauliflower Cream
A surprisingly light bite– the sweetness of the salmon complemented the mild cauliflower which also served to brighten up the cream. Fabulous.
Pigeon Pâté, Rillettes and Poached Fig
I loved the mild sweetness and nutty flavour of the pigeon, which was quite different in the two preparations. I think I ended up preferring the rillettes, which had a more defined meaty texture than the well-​set pâté. I also would have liked some more fruit or compote to pair with the pâté, which was a very rich to eat all on its own.
Foie Gras and Bresse Chicken Pâté en Croute with Black Cherry Jelly
With the pastry and the extra cherry on the plate, this dish solved the minute problems I found with the former dish. The foie gras in there also added an extra level of sumptuous satiny texture that was absolutely divine.
Red Mullet with Stuffed Zucchini Flower, Eggplant and Tomato with Espelette Chili Butter Sauce
Deliciously moist and meaty, I think mullet may be one of my new favourite fish. I really liked the combination of the mild white fish with the spicy butter adding richness but not weighing it down.
Ballotine of Rabbit Stuffed with Raw Almonds and Dried Fruit, with Rabbit Croquettes, Girolle Mushrooms, Pea Purée and Savory Jus
With all the crunchy nuts and chewy raisins inside, the texture the ballotine was simply divine. I did find the dish as a whole a bit overseasoned and taxing on the palate, however. Having said that– those croquettes — so addictive.
Fresh Cheese Ice Cream with Almond Madeline
Mmm… such a nice palate cleanser and surprisingly light. It essentially tasted a bit like a light buttermilk sorbet because the mild tanginess of the cheese cut the richness of the cream.
Lemon Meringue Tart, Pistachio Financier, Praline Tart and Tiramisu
An adorable little selection. My favourite of the bunch was the lemon meringue, which was creamy, toasty and tart all at once in the most delicate shell of pastry.
Paris Brest with Praline Cream and Caramelized Hazelnut Ice Cream
They must have been reading my food-​focused mind because on my walk over to the restaurant that night I was thinking about how I regretted not seeking out Paris Brest whilst in Paris. Well, let me tell you. I fell in love. The pastry was crackly on the surface and fluffy inside with a silky angelic nutty cream and a slightly bitter ice cream to offset the sweetness. I’m officially obsessed with Paris Brest.
Apple Tarte Tatin with Beer Ice Cream
Tarte tatin has always been a favourite dessert, and this was a fabulous example. Here the pastry was super delicate and allowed the deeply caramelized apple to shine. The ice cream on the side had this unmistakable hoppy note to really offset the sugar. Another solid dessert.

Voici un avis tout neuf !
Pour notre anniversaire de mariage, j’ai demandé à aller chez «La Mère Brazier» et oui, je né connaissais pas, alors que Monsieur y va au moins 2 fois par an…
Arrivant devant la porte, je n’osais espérer y rencontrer une de mes idole, j’ai nommé «Mathieu Viannay» Attiré par une porte ouverte et des bruits de casseroles, j’ai pointé mon nez de curieuse, et ai été salué d’un «bonjour Madame» OH ÉMOTION l’homme était là et il me saluait en m’adressant un sourire. Je né sais si j’ai fondu en 1er ou si je me suis retrouvé à l’age de 15ans pour répondre un «bonjour Monsieur» inaudible.
Bön cela n’est qu’un détail (bon c’est mon détail, c’est à moi, c’est perso, et pis voilà aaaaahhhh)
Je signale d’ailleurs, que le cadre a été rénové cet été… (pas le cadre du portrait du Chef, mais le décor du restaurant …)
Soirée à la hauteur de mes espérances (qui n’étaient pas que de rencontrer Mathieu… ben oui maintenant je l’appelle par son prénom :-))
J’ai voulu prendre le menu Classique 3 plats ! non je né regrette pas du tout, du tout… Ah bien au contraire… mais j’ai bien cru trépasser avant la fin de mon soufflé au grand Marnier, que je n’ai pas eu la décence de finir, et la punition est, que j’y pense chaque jour à ce soufflé si, si, si léger, si crémeux, si bon si, si… Ah!!! la sotte que je suis, je n’ai pas pu le terminer, et j’avais pas de DoggyBag…
Je vous promet que l’endroit est à la hauteur de sa réputation, l’accueil n’y est pas guindé, les sourires sont au rendez vous, les assiettes vide sont jolies, et pleine, elles sont extraordinaire.
L’addition me diront certain? indolore !!! a la hauteur de ce qui nous a été offert ! Franchement je préfère une belle note comme celle la, à 3 chiffres une fois l’an (voir 2 même 3 fois dans l’année, chéri ! si tu lis cet avis ;-)) oui je préfère que de payer une misère un repas sans nom qui né laisse que des traces d’amertume voir qui nous invite a rejoindre à la hâte la plus petite pièce de l’appartement.
Je dis encore (encore encore chéri je dis encore… je me lance dans l’envoutement … sait on jamais ;-) en message subliminal j’ai accroché un portrait d’Eugénie Brazier dans l’entrée Cela marchera t’il ???)…

classic. had lunch, and it was fantastic. particularly noteworthy was the tartare. next time i’m in lyon, i’d be happy to return

Franchir la porte de la Mère Brazier pour la première fois, c’est un sentiment unique pour tous les gourmets du monde.
Dès les premiers pas, on se sent attendu, c’est très agréable.
J’ai la chance de profiter d’un salon privatisé à l’étage, juste pour nous 2, avec un serveur qui nous est dédié. Nous osons à peine parler à voix haute, les chuchotements sont de mise.
Confortablement installée dans mon fauteuil, le défilé (de plats et de verres) peut commencer. Nous commandons, un sommelier vient nous conseiller pour le choix des vins qui accompagneront nos plats.
Petite mise en bouche, un cake aux o… reilles de cochons. Cela né me parait pas très appétissant mais pourtant, quel délice ! Avec de la cervelle de canut pour accompagner, yummy.
Ensuite, nous avons droit à une seconde mise en bouche. Un gaspacho de tomates et crème maison. Je n’aime pas le poivron, et pourtant j’ai terminé ma part, c’était très bon.
Puis, nous avons le privilège de tester l’araignée de mer et son émulsion aux agrumes. BOUM, la magique continue, je me régale.
L’entrée arrive. Je teste le pâté en croûte à la volaille de Bresse et foie gras, champion du monde des pâtés en croûte 2009. Vraiment très bon ! Avec la confiture de cerise noir pour accompagner, je me régale.
Le plat, un dos de maigre et son risotto aux coquillages est un délice. Je né peux pas m’empêcher de goûter du bout de la fourchette le bœuf Wagyu de mon ami. Attend, le meilleur bœuf au monde, ça né se refuse pas ! Et franchement… wow. Magique. La meilleure viande de ma vie. Je veux manger du bœuf Wagyu tous les jours. Non, je veux être un bœuf Wagyu !
Mon estomac commence à me crier d’arrêter mais je continue. Nous avons droit à une «mise en bouche sucrée»: une glacé au yaourt (miam) avec 4 petites mignardises. Enfin, le dessert: un vacherin (revisité) au citron avec un sorbet à la crème de lait (ou quelque chose comme ça). Il a été lancé le jour même, c’est très bon et frais.
Je n’ai pas précisé mais tous les plats sont BEAUX. Non, que dis-​je, ils sont MAGNIFIQUE.
Je suis rentrée en rampant, la peau du ventre bien tendu, mais quel régale. Le meilleur dîner de ma vie.

La Mère Brazier, voilà une référence gastronomique nationale et pourtant éminemment lyonnaise…
On se régale autant du contenu des assiettes (et des verres), que du cadre ! Ici, les murs comptent pour beaucoup dans le plaisir du repas…
Le chef Matthieu Viannay a bien gagné ses deux étoiles, en prenant la tête de cette table qu’Eugénie Brazier, mère fameuse entre toutes, a créée et qui fut ensuite dirigée par sa fille Jacotte. Sa cuisine met à l’honneur, en les revisitant, les grands classiques de la Mère, avec légèreté et intelligence.
Coup de cœur pour le pâté croûte et le Paris Brest !

Un MOF qui mérite ses deux étoiles; un voyage culinaire du début à la fin avec un menu dégustation digne de son prix chaque plat apporte son lot de surprise et de plaisir culinaire avec une mention spéciale pour l’huite pochée avec gelée de pomme granny –caviar.
Chaque plat recèle d’au moins deux saveurs très différentes et qui se marient le plus naturellement possible.
Une sommelière très compétente et chaleureuse qui a su proposer les vins (a choisir a la bouteille ou au verre) très variés et en accord avec les mets.
Un service général impeccable et discret
bref une excellente adresse !

Pour mon 1er avis sur Unilocal,j’ai choisi La Mère Brazier, restaurant connu, reconnu, qui n’a plus à faire ses preuves, mais qui m’a particulièrement marqué. A la fois sobre et raffiné, ce lieu vous fait «bouffer de la tradition» avec générosité et émotion. Certes, ce n’est pas le plus accessible financièrement, mais ça vaut le coup de le tester une fois dans sa vie ! (Notons que certaines adresses avec 1 étoile, coûtent parfois plus cher…)
Avant d’entrer, j’avais tout de même une réticence: celle de me retrouver avec 3 jolies feuilles de chou dans l’assiette et d’envisager un McDo à la sortie… Mais, surprise: chez la Mère Brazier, c’est bon, c’est beau, et c’est copieux ! Entre chaque plat, vous goûtez des mises en bouche sublimes et découvrez des mets délicats. Vous êtes servis rapidement avec une synchronisation parfaite. Les assiettes sont merveilleusement bien dressées et les plats vraiment savoureux. L’accueil est soigné avec des serveurs rigoureux, à la fois discrets et attentionnés.
Plus qu’un diner, c’est une vraie soirée spectacle que Viannay et son équipe vous propose. Le service impeccable, la beauté des plats, et le charme des lieux vous emportent dans un manège délicieux ! Bref, vous l’aurez compris, au delà d’une nourriture exquise c’est toute une ambiance et un savoir-​faire que vous savourez minute par minute.
Pour conclure, reprenons une citation de Monsieur Cyril Lignac (Top Chef): «c’est gourmand, c’est croquant, et j’ai vraiment pris beaucoup de plaisir avec ces plats !»

Voilà, c’est fait, cette semaine j’ai ENFIN eu la chance de tester la Mère Brazier (by Matthieu Viannay)! Depuis le temps que j’en avais envie, inutile de dire que j’attendais ce moment avec impatience.
Tout d’abord, le cadre: l’intérieur est très joli: dans une ancienne bâtisse en bas des pentes de la Croix-​Rousse, les pièces sont petites, mais que c’est joli! De belles couleurs dans le choix des peintures, papiers peints et mobiliers, c’est classe, agréable, on s’y sent bien… Le bâtiment est bien mis en valeur.
Dans l’assiette (nous avons mangé à la carte): une succession de plats tous aussi fins les uns que les autres, du bonheur! Vraiment, j’ai beaucoup apprécié: farandole de champignons des bois et oeuf mollet, puis noix de saint-​jacques à la mangue verte et un soufflé au grand-​marnier en dessert… sans parler des mises en bouche, mignardises et autres douceurs (ahhhhh, la guimauve maison au citron!!!)
Ce fut une tuerie! Nous y sommes allés un midi, il m’a fallut l’après-midi pour digérer, mais qu’est-ce que c’était bon! Serveurs très sympathiques… J’ai vraiment beaucoup apprécié ce moment.
Seul hic à mon goût: pour avoir fait pas mal de gastronomiques 2 ou 3 macarons, je trouve celui-​ci un peu cher (les menus sont sympas, mais je reconnais que nous avons tous mangé à la carte ce qui n’allège pas l’addition!).
Prochaine étape pour moi: le Brazier Wine Bar!
PS: pour les fêtes, il sera possible de commander du pâté en croûte et du foie gras à emporter… et quand je parle de pâté en croûte, le seul souvenir de celui qui était dans l’assiette de mon voisin me met l’eau à la bouche…

Je n’y suis allée qu’une fois, il y a bientôt 2 ans… Et si je né me souviens pas de tout ce que j’ai pu goûter, certains des plats et le plaisir de les déguster sont bien ancrés dans ma mémoiré.
Pas très à l’aise au départ, impressionnée par le service un peu guindé d’un des mes premiers étoilés, je me suis vite détendue à l’aide de ce délicieux, magnifique, magique Givry blanc. Nous vouons depuis un véritable culte au bon Givry, mais blanc et rouge, nous né sommes pas sectaires…
Très vite, nous avons pu oublier le cadre qui nous entourait pour nous concentrer sur l’explosion de saveurs qui prenait place dans le défilé d’assiettes du menu dégustation. Les artichauts et foies gras, les ormeaux, les noix de Saint Jacques juste rôties aux agrumes, la madeleine tiède et sa glacé au fromage blanc, le soufflé au Grand Marnier, … Ainsi qu’une viande fondante à souhait…
Deux ans après, j’envisage très sérieusement d’y retourner alors qu’il y a tellement d’autres restaurants à découvrir (si quelqu’un peut faire passer le message à mon cher mari, nous avons un anniversaire à fêter :p).
Mais surtout, deux ans après, j’en ai encore des étoiles plein les yeux. Et croyez-​moi, pour une chiante comme moi, ça veut dire beaucoup !!

Un dejeuner fantastique! Tout était parfait — la nourriture, le service, le décor… c’était un repas vraiment spécial, qu’on va souvenir pour longtemps!
Et en anglais…
We had lunch here and it was fantastic! We ordered the lunch menu, and it was well worth it. Everything we had was cooked to perfection, and between the entrée, plat, dessert, and the multiple amuse bouches/​extras were all equally as delicious. It was impossible to choose a highlight of the meal! The service was fabulous — attentive without being too much, and everyone was terribly nice (in a natural, not supercilious, way). The décor was very elegant and tasteful.
Lunch is definitely to be recommended here, as it is incredibly good value. In short, we enjoyed this meal very much, and will remember it for a very long time!

Bön d’accord je tape dans la catégorie supérieure mais je tiens à mettre un petit mot sur la fameuse Mère !
J’ai eu la chance d’y aller pour déjeuner professionnel et comme souvent le contenu de mon assiette m’a un peu détournée du but premier …
Après être entrés par un petit hall d’immeuble qui né paie pas de mine, on nous conduit dans un petit salon qui donne tout de suite le ton. Vous imaginez bien la suite: pré entrée, entrée, plat, pré dessert, dessert, mignardises… Le genre de déjeuner qui prend 3h et que t’empêche de travailler l’après midi !

Uninspired, unpolished, unlikable.
SEATING AND AMBIANCE
They put me at the table on the other side of the wall from the dishwasher. Aroma MILDEW and delightful sounds of clashing plates and murmuring dishwashing machine throughout my meal. This is the seat for the stupid, fat american who doubts your michelin rating and is about to give you a poor review.
All possibility of elegance is lost without a complete refurbishment and replacement of the creaky wood floors. With a staff this large, in a room this small, with a mildewey stench this horrible, i feel i should be rolling silver in napkins or polishing glasses. Certainly not about to be enjoying a five-​star meal. POO.
SERVICE
sorely lacking the poise and ballet of a «greatest table of the world». staff saunter and sway in one-​size-​fits-​all wrinkly black tunics, no grooming, no pride. For a team this large, communication is exceptionally poor. Only the captains show the grace and polish of a higher standard. FIRE the rest and start over.
MENU DEGUSTATION
–amuse. avocado cream and tomato crisp.
–the highlight of the meal. oestra caviar atop crab meat and cauliflower. crab water gelatin in between. Delectable, scrumptious, divine. BUT THAT’S IT.
–black wheat pancake under oyster and purée of leek. pancake was too heavy for me and didn’t work for me. endive would have taken it better to the bitter side of the spectrum.
–really getting crazy now. «huge» (according to the menu) lobster over roasted mango and passion fruit dressing. anise slaw with radish.
this came across like an earthy seafood picnic. what an interesting intersection of concepts. but it didn’t work for me.
–by far the worst of all. lamb bites over a horrible greasy caramel and oil with terrible zucchini tempura. The «flowers» completely lost in the batter. Seriously. My very first attempt at tempura (which was HORRIBLE) was better than this.
What’s worse is that none of the staff even noticed or commented that I took but two bites. SHAMEFUL.
–delectable Petit Fours bites lacked polish. at this level, _​each one_​is supposed to be a work of art. instead they felt like a catered buffet. coffee crème especially lazy. MERDE!
–Dessert. Strawberry shake and rhubarb tarte. seriously. a bendy straw? i mean i’m old, but this presentation makes me feel like i need to take my dentures out first. rhubarb tarte again lacked polish and poise. seriously. i could have (AND I WILL) done better at a sidewalk bistro for one fourth the price.
WHAT THE FUCK ARE YOU PEOPLE DOING BACK THERE!!!
Epic fail. This deserves to be stricken from the supposedly selected subset of highest of the high of Michelin called «Les Grande Table du Monde» and makes me doubt the list, especially after the epic fail last year in Chicago’s Charlie Trotter. Well, at least L.G.T.D.M. has stricken it since, but damn. How many more of these do I have to go through?!
P. S. In another bid to ask Unilocal for «unlike»… jEn S., I hate you. You owe me 150Euro. =P

The service was fabulous and everything was perfect! It has become one of my most memorable nights in France because all the food was absolutely fabulous. And all the different wines that accompanied our meal were all perfect. I can’t read the menu that was prepared for us (all French) but we had a lobster/​grapefruit and foie gras for appetizers. Duck and fish for entrees. Frozen yogurt with Madeline, Sorbet, hazelnut mousse chocolate and petit fours for dessert. Everything was SO DELICIOUS.