Le Neuvième Art

Très bonne soirée passée dans ce restaurant. Ambiance reposante où se mélangent le naturel et le chic. Service de qualité et très agréable, même doté d’humour !
Je me suis régalée avec la soupe à la grenouille (petit bémol par contre pour le bout d’os retrouvé à l’intérieur…), la poitrine de pigeon avec ses betteraves et ses différentes sauces ainsi que tous les autres accompagnements.

Parfois dans la vie il faut faire simple et efficace: Le neuvième art peut facilement vous faire monter au septième ciel!!!
L’ambiance est épurée, classe, une ambiance scandinave du meilleur goût.
La cuisine est divine et la perfection est toute proche…
Si vous n’y êtes pas encore allé et que vous avez les moyens et l’envie de le faire, n’hésitez pas vous serez épatez et vous le recommanderez !!!
Avis aux amateurs c’est une pépite et elle vaut de l’or!!!

Que dire du Neuvième Art, si ce n’est que nous y avons passé une soirée merveilleuse?
Le neuvième art est l’un des deux seuls restaurants deux étoiles de Lyon (il y en a d’autres mais ailleurs dans le département du Rhôné, mais seulement deux dans la ville)
Le restaurant n’est pas très grand (peut être 10 tables?) ce qui fait que le lieu reste calme et l’ambiance feutrée. La décoration est simple, pas du tout à notre goût, mais sans faute de goût. C’est purement subjectif, et né justifie pas du tout une étoile Unilocal en moins.
Passons au service: agréable, discret mais prévenant, rien à redire.
Les plats? Une merveille. Nous avons pris le menu à 112 €, soit des amuse bouches, une entrée (saumon maison, caviar krystal…), un poisson (saint jacques et truffes), une viande (pigeon et betterave), plateau de fromages, pré dessert, dessert (poires chocolat sous diverses formes) et mignardises.
Tout était succulent, et ce qui nous a le plus impressionnés était le travail sur les textures. Majestueux. Peut être le plus incroyable. Né nous attardons pas sur la qualité des produits, c’était du haut de gamme, qui nous a éblouis.
Le vin était lui aussi parfait (du condrieu pour le poisson, un côté rôti pour la viande).
En somme, une merveille gustative dont nous nous souviendrons longtemps et qu’il sera difficile d’égaler.

Un nouveau venu à Lyon qui a fait sensation chez tous les amateurs de bonnes tables, et en s’y rendant on comprend pourquoi!
La cuisine est moderne et inventive, la qualité est irréprochable, et tout le reste suit.
Le restaurant mérite amplement ses louanges, et j’y retournerai avec plaisir!

A occasion spéciale, restaurant spécial. Malgré des avis mitigés nous avons choisi le Neuvième Art et je né regrette pas du tout cette décision.
Du début à la fin tout s’est déroulé à la perfection. Un accueil très pro et agréable, sans être pour autant beaucoup trop guindé.
La salle est chaleureuse, joliment décorée et surtout le calme y est maître. Idéal pour savourer ses plats dans la tranquillité la plus absolue.
Nous sommes partis sur la formule «entrée 2 plats fromage et dessert» en demandant un accord mets et vins en plus histoire d’être guidé justement sur le choix de la boisson.
Nous avons eu le droit a 3 mises en bouche originales et savoureuses accompagnées d’une flûte d’un délicieux champagne.
Chaque plat qui a suivi né fut que délice. Du saumon cuit à basse température avec ses pommes de terres Roseval et son caviar cristal, en passant par la Saint Jacques fraîches, truffes noires Uncinatum mais aussi la Pie cannelle de caille, figues fraîches raisins muscat et jus réduis de caille, en terminant par une sélection de fromages selon nos goûts, pré dessert et une apothéose en bouche grâce au mousseux chocolat poire et sa glacé à la poire d’été (la meilleure jamais dégusté de ma vie) ainsi que quelques mignardises pour accompagner le café.
Au rendez vous à la fois des saveurs mais aussi de la recherché dans les goûts, du travail au niveau des matières, de la précision dans le dressage. Et pour couronner le tout, une sélection de vins absolument divins (Côte Rôtie Bassenon 2013 par exemple) en parfait accord avec chacun des plats.
Une superbe expérience en tout point de vue.
N’ayant pas fait d’autres 2 étoiles j’imagine que certains pourront émettre des objections mais en tant que novice sur un tel niveau je suis conquise !

My review of this fine Lyon establishment is colored completely by the arrogance of the head waiter and several of the staff. After eating at so many fine establishments around the world, I’m just as concerned with my comfort as a patron, as I am with the food being served. That being the said, some of the dishes served as part of the signature 5 course menu (with wine pairings) were some of the best I’ve ever had. There was one outlier dish that was only borderline acceptable (a shellfish dish with Hollandaise), but one obviously can’t expect everything. What’s clear though is that France has many amazing food experiences to offer, especially at this price point. My expectations were extremely high and the let down due to the poor service was very disappointing. Guess you can’t win ‘em all. Go elsewhere.

Owned by Christophe Roure, and Lyon’s most recent recipient of a second Michelin Star, Le Neuivem Art was a bit of a last minute decision when piecing together the dining puzzle of Central France, but with skills honed under the likes of Bocuse, Marcon, and Gagnaire the experience proved to be something absolutely distinct with several plates that either matched or outperformed those of his mentors in a sleek environment with the sort of formal yet friendly service that made even those who barely spoke the language feel welcome to sit back, relax, and simply enjoy the ride.
Dressed in natural woods, grassy greens, and salmon pink with crêpe paper touches amidst large windows that bathed the room first in natural light, then in that from streetlamps outdoors, it was at reception that guests were greeted by name by the Chef’s wife, a woman who took great interest in how I’d heard about the restaurant while telling stories of her own travels to the American Southwest years prior, it was soon after seating that a young man with excellent English skills approached the table with a list of aperitifs and electing for water along with Alain Milliat’s Jus Fraises du bois Juice a few questions about the trio of menus were answered, the chef’s tasting with one substitution «not a problem at all.»
Told that the menu would last about three hours, and soon finding the room at capacity with a noise level that was far more jovial than any of the three-​star spots visited without even being ‘loud,’ it was with a crispy «caterpillar» of dried beef, smooth liver, and vegetables atop a rock that the meal began and progressing quickly to a duo of briny anchovies sweetened by stonefruit alongside tangy yogurt before culminating in a breakfasty bite of pork and eggs, the canapes proved good evidence of things to come, the Gagnaire influence on obscure pairings and astonishing forms obvious from the start.
Starting the menu proper with a foamy emulsion of lemon atop fluffy king crab flan and a sprinkling of lobster eggs plus shaved bottarga helping to bring sours and sweetness to a peak on the palate it was onward to the requested substitute that the menu moved, and although I’m sure the shellfish broth originally offered was as good as it looked at the table next-​door I’d be hard pressed to assume it came anywhere near the buttery bites of duck liver offset by compressed cantaloupe and carrot vinaigrette, the later bracingly acidic on its own but a nice way to mellow the sometimes overwhelming melons while also washing oil from the tongue between bites.
Focused on lighter fare, and perhaps only offering butter for the exquisitely crusty bread on request as part of this idea, courses three and four saw Roure continue with seafood and first using a bit of plating trickery to separate textures of the langoustine from crispy tuille as notes of saffron rose high from the broth, a followup of Sea Bass immediately had me singing praiseful comparisons to Troisgros — the almond milk foam topped with green asparagus gelee absolutely dazzling atop mushrooms and supple fish with just enough butter to see it all meld.
Yet again trending light with the menu’s final savory, a perfectly seared pigeon breast topped with confit leg served alongside croutons of gingerbread, bitter beetroot, orange marmalade, and simple pan jus it was into cheeses that the tasting transitioned and although perhaps a bit more limited than some of the 3* spots, the selection put together by Le Neuviem Art was actually one of my favorites, the Pinot Noir washed Vully, Comtesse de Vichy, and Fleur du Maquis all quite excellent while the creamy Chevrotin was perhaps the most interesting goat cheese tasted to this day.
Moving from savory to sweet with a budino of semolina flour scented in elderberry beneath a cloud of meringue it was onward to Cherries in forms that the evening marched on and with raw almonds decorating both the whole cherries atop a financier and the soft center to a creamy pink sculpture the flavors were intense yet elegant, the cup of ice cream proving a smooth transition to handcrafted mignardises and chocolates with two types of warm madelines saved for the end.

Concernant le neuvième art, je né sais pas par où commencer… Ce fut un délice pour les yeux et pour les papilles du début à la fin ! (Les photos le montrent je pense, allez allez filez les regarder, ca finira de vous convaincre).
Ce fut mon premier 2 étoiles et j’ai bien senti que je passais une étoile de plus ! Je né sais même pas quoi dire, je crois qu’il faut le tester … À né surtout pas louper. Le service est parfait et sait s’adapter à la clientèle, c’est vrai qu’à 24 ans, je né suis pas très attirée par les services guindés dans les grands restaurants et j’aime qu’ils s’adaptent, ce fut fait à merveille, ils ont été aux petits soins.
Pour les plats, je vous assure que je né sais même pas quoi dire, les saveurs, les surprises de goûts, de présentation… Waow ! Inexplicable, il faut le tester pour le croire. Bref, du grand Neuvième Art !

Oui, ce restaurant porte bien son nom. Tout y est artistique. Dans l’assiette, sur la pointe de la langue, aux murs. L’accueil et le service sont raffinés sans être pincés.
J’ai la chance d’avoir fréquenté plusieurs établissements étoilés, celui-​ci m’a particulièrement marqué. J’ai le souvenir de saveurs connues qui assemblées ensembles donnaient un goût subtil et mystérieux d’une brutale finesse.
Le dessert m’a semblé un petit peu en deçà des autres plats. Avouons qu’en ce qui concerne le reste, il s’agissait de haute voltige, le niveau était dur a maintenir.

De l art, tout simplement. Avec en plus des saveurs étonnantes et parfaitement associées. Tout simplement un régal. Pour un tarif correct compte tenu des 2 étoiles du chef et de la haute qualité des plats. Le tout dans un cadre design, confortable et chaleureux.
Un service fort sympathique et performant. La seule fausse note, pour trouver qqch à redire, est l erreur commise par les serveurs qui se sont trompés dans la remise des plats…
Mais tout de même une superbe expérience ! Bravo

Un Chef MOF, Christophe Roure qui mérite bien son col bleu blanc rouge! Une belle carrière derrière lui où il a gravit pas à pas les différents postes en cuisine. J’ai eu la chance de goûter à son savoir faire lorsque fin des années 2000, il était Second de cuisine du côté d’Avignon.
Un très beau restaurant qui prend toute une ancienne gare de chemin de fer, très belle décoration. Première étoile Michelin en 2004, puis la seconde en 2008…
Une très belle carte réduite, très créative où l’on sent le savoir-​faire, l’expérience des îles, et de très beau mélanges de saveurs et de couleurs! Huîtres Gillardeau en gelée «citronnelle et gingembre», mousse de riz Basmati aux algues Nori ou Saumon d’Ecosse enveloppé d’écume, millefeuille frais à la bergamote, caviar Kristal… Je note toute la description! Foie gras de canard à la vanille bourbon… Caille impériale marinée à l’eau de noix et miel de châtaignier, Poitrine de pigeon aux betteraves acidulées, la cuisse confite en pastilla, jus de mûre, marmelade d’oranges amères… Mais il change souvent.
Des fromages frais ou affinés à pleurer tellement ils deviennent rares dans les restaurants.
Au dessert, une version moderne d’un vacherin «minute» fruit de la passion réglisse et inversement ou la tarte citron meringuée déstructurée mise sous cloche!!!
De très beau vins régionaux à dominante rhodanienne, demandez au sommelier, Monsieur Brisson, il les connait très bien et les prix sont parfaitement ajustés!
Un service attentionné, gentil et efficace.
Menu deux plats à 75 € ou trois plats à 100 €. «Menu confiance» au Chef servi en 4 plats: 115 € ou en 5 plats: 130 €. Menu «confiance» au Chef avec un accord met & vin servi en 4 plats: 155 € ou en 5 plats: 180 €.
Il y a une petite boutique pour les ventes à emporter…
Pour le prix, vu la qualité, la créativité et la qualité, vous en aurez pour votre investissement!