Les Déserteurs

Franchement, une très belle découverte. La salle est toute petite mais pas bruyante. Service impeccable et carte des vins maitrisée sur le bout des doigts. Les plats étaient tous très originaux et absolument délicieux. Cuisine raffinée, moderne et très tournée sur la qualité des produits.

A la recherché de bonnes adresse, nous avons découvert cette brasserie haute de gamme. Pourquoi brasserie plutôt que restaurant, tout simplement par le concept du lieu. Cependant il faut réserver plusieurs semaines à l’avance.
Accueil chaleureux.
Un des 2 serveurs est littéralement extraordinaire tant par la connaissance des plats et des vins, que par le service. En effet à chaque plat, nous avons droit à une explication détaillée qui nous met à chaque fois en appétit.
Notre choix est de 6 plats. Mariage des textures parfaite, mariage des saveurs sauf pour le plat de viande que nous trouvons tous les 2 avec une explosion des saveurs: malheureusement beaucoup trop de saveurs différentes explosives en bouche.
Quant au premier désert, fondant et craquant à souhait. Ça croque ou ça fond. Les 2 en alternance. C’était une tuerie.
Le second dessert, les 3 C est explosif en bouche.

De l’accueil aux papilles, tout fût incroyable, des 6 plats copieux, originaux et frais aux verres de vins fins et savoureuse ment bien accordés en passant par l’équipe de Dan et Alex qui ont tout fait pour nous chouchouter ! Une super soirée qu’on oubliera pas de si tôt !

petit restaurant avec peu de table mais absolument délicieux
notamment l’entrée de déclinaison de carottes
la carte change très régulièrement,
le vin est excellent, nous recommandons le domaine du clos fleury
prix du menu 50euros
décoration élégante, adresse a découvrir !

J’ai eu l’occasion de tester les Déserteurs en ayant le plaisir d’y être invité il y a quelques semaines pour un dîner en tête à tête.
L’accueil est chaleureux et la salle sobre mais élégante. Le choix se fait entre 4 et 6 plats, nous avons choisi la 2eme option par pure gourmandise !
La cuisine est plutôt fraîche, sobre et élégante avec un menu de saison mettant en avant des produits de qualité. Ce jour là, nous avons notamment été marqués par une burrata des Pouilles crémeuse à souhait, nichée dans de fines tranches de courgettes; ou encore un somptueux dessert autour de la pêche, plein de jeux de textures et sublimant le fruit.
La carte des vins est fournie et le personnel de bon conseil.
Le menu est globalement excellent et je mets 5 étoiles pour la qualité des plats et des produits, et pour le service vraiment aimable et agréable (pas toujours le cas a Paris…). En revanche, pour ce prix, on pourrait attendre un zeste d’imagination et de fantaisie supplémentaire; mais le menu changeant sans arrêt, cela dépend peut-​être des jours !
En définitive… Une adresse à né pas déserter !

Arrivée avec 45 minutes de retard pour cause d’embouteillages hallucinants à Paris, j’arrive sur place super stressée, pensant que c’était cuit. Pourtant, Alexandre reste souriant et adorable. Il nous dit qu’il va se débrouiller et qu’il convient maintenant de se détendre. Tout s’est arrangé au moment où nous nous sommes assises: le service a été parfait, et le repas délicieux. L’expérience a été si concluante que j’ai déjà réservé ma table pour mercredi prochain. Une équipe pareille, ça donne vraiment envie de revenir!

Excellent restaurant ! Rien à dire, le service, le lieu, tout etait top.
Mention special au service qui fut d’un professionalisme rare !

Rino est mort, vive Les Déserteurs! Quand Daniel Baratier et Alexandre Céret désertent le Sergent Recruteur pour reprendre le local de Rino, c’est pour mieux nous régaler dans ce magique néobistrot. Le 11ème s’impose actuellement comme le temple de la néo-​bistronomie ouverte aux foodies qui adorent se faire plaisir en découvrant de nouvelles saveurs.
Tout a commencé par un coup de chance pour nous: un appel à la dernière minute gagnant. Par miracle, un couple venait de décommander quelques secondes avant notre appel. Cette soirée est pour nous! Pour les moins chanceux, appelez 48h à l’avance, l’endroit est déjà très prisé.
Caché dans la rue Trousseau, Paris 11, on peut passer devant sans même le remarquer. Ici, pas de chichi sur le décor, c’est minimaliste mais très bien arrangé, on s’y sent tout de suite bien. Le restaurant est tout petit par rapport à son énorme potentiel (seulement 25 places assises) et la cuisine totalement ouverte est minuscule et peut tout juste loger 2 personnes (cuisinier et plongeur). Ici 2 ambiances: tables hautes très conviviales à l’entrée en face de la cuisine ouverte pour discuter avec le chef ou tables plus classiques au fond, très intimistes.
En arrivant, on retrouve tout de suite l’ancien second du Sergent Recruteur Daniel Baratier aux commandes de la cuisine. Concentré, il est en train de préparer la succulente purée très inspirée de la fameuse recette de Joel Robuchon. On sait qu’on va se régaler!
Tout juste installés à table, c’est l’ancien sommelier du Sergent Recruteur Alexandre Céret qui prend les commandes de la soirée. Il se transforme en conteur, narrant la superbe carte de la soirée. Il y a une recherché incroyable dans les gouts, ce conte est magique. La carte des vins (170 références) est fantastique, Alexandre Céret la maîtrise parfaitement et donne de très bons conseils.
Laissez moi vous conter cette superbe carte dont vous pouvez voir les photos mais dont vous né pourrez pas profiter puisqu’elle change chaque jour.
1ère entrée: Paris-​Brest légumiers
2ème entrée: Oeuf bio mollet, purée de céleri rave, teriyaki, pain rôti, chanterelles (truffe blanche d’Acqualagna en supplément)
1er plat: Daurade Royale de Saint-​Gilles-​Croix-​De-​Vie, galeuse d’Eysines, coulis de céleri, beurre noisette
2ème plat: Colvert sauvage de chez Miéral, cèpes des Vosges, jus court (truffe blanche d’Acqualagna en supplément)
1er dessert: Ecorce d’Automne (tourte aux pommes), glacé caramel au beurre salé
2ème dessert: Cheesecake à la vanille de Tahiti, Earl Grey, sorbet mandarine de Sicile
Le menu du midi à 28 € est donné pour cette qualité et le menu du soir à 45 € pour 4 plats et 60 € pour 6 plats est extraordinaire.
Vous l’avez compris, Les Déserteurs a réussi son pari et s’impose déjà comme une des références de la nouvelle gastronomie parisienne.

Un néo bistrot de plus qui doit faire face à la concurrence de Septime juste à coté, j’ai trouvé que la cuisine manquait d’aboutissement, l’adresse est surement en rodage, le service est correct mais à ce prix je préfère Braisenville ou encore Paradis.

Là où trônait il n’y a pas si longtemps le restaurant Rino siège dorénavant une bande de déserteurs, celle d’Alexandre Céret et de Daniel Baratier, deux anciens du célèbre Sergent Recruteur dans le quatrième arrondissement.
Ici, pas de fioritures, la déco est sobre, mais chaleureuse. Une vingtaine de couverts environ sont répartis dans ce petit espace. Aux Déserteurs, la véritable star, c’est l’assiette. Pour notre plus grand plaisir. Des produits frais et une carte variant au gré des saisons et des marchés, voilà la recette gagnante pour laquelle ont opté les maîtres des lieux.
Pour le dîner, les Déserteurs proposent un menu à quatre plats à 45 euros et un menu à six plats à 60 euros. Mes compères optent pour la totale. Quant à moi, je sors d’un apéro déjà bien calorique et né me sens malheureusement d’attaque que pour les quatre plats. Je né regretterai pas mon choix puisque j’aurai l’occasion de goûter dans les deux plats supplémentaires chez V qui finira péniblement (ça se passé comme ça chez nous). Il faut bien le dire, les Déserteurs nous offrent de la grande qualité, mais aussi de la quantité. Bref, fait de plus en plus rare, on né se fout clairement pas de ta gueule. Par conséquent, je né te conseille les six plats qu’en cas de grosse faim, voire de gourmandise extrême.
La mise en bouche se fait avec délectation: œuf mollet, artichauts, poitrine de porc fermier puis asperge blanche, anchoïade et olive Kalamata. Avec le plat suivant, une bavette de veau fermier de l’Aveyron fondante à souhait, accompagnée de grand roux crémeux et d’un jus court, on nous apporte une polenta au parmesan absolument turiesque (du français tuerie, évidemment). Je piocherai ensuite dans l’assiette de V donc, garnie de merlu de ligne et de chou fleur, assaisonnée à la sauce thaï. Délicieux. Pour finir, la touché de fraîcheur est apportée à mes compagnons de tablée grâce à un petit bol de mara des bois et rhubarbe. Je termine mon repas en beauté avec un dessert chocolat, sésame et caramel beurre salé.
En conclusion, si tu croises la route de ces Déserteurs, je te conseille fortement de faire un bout de chemin avec eux. Ils te régaleront. Sache enfin que le menu déjeuner entrée+plat+dessert est à 28 euros (35 euros avec verre de vin et un café). Comment résister?