Nabuchodonosor

J’ai très envie d’y aller pour l’ambiance qu’il y règne!
Avis à éditer!

Je l’ai enfin testé celui ci aussi! Par contre je suis un peu déçue, j’ai pas ressenti cette ambiance particulière détaillée si subtilement dans les avis précédents.
Chose y est, c’est vraiment un autre monde, y’a pas à diverger, mais en même temps pour un bar qui sert de verres de vin toute l’après midi, c’est pas étonnant. L’intérieur des lieux est sombre, d’un rustique qui a bien vécu, j’aime bien. Je n’ai pas eu le plaisir de rencontrer le patron, seulement le serveur, qui était cependant très sympathique.
Bön, en fait je crois que ce qui m’a le plus gênée, c’est de me retrouver totalement en décalage avec la clientèle déjà présente (depuis un bout de temps je pense) ce jour là. Un peu plus déchirée que la moyenne on dira pour un vendredi après-​midi.
Mais sinon il faut connaitre, pour l’ambiance, le rustique, la sympathie, observer ces gens qui jouent aux cartes. Mais j’y retournerai, je m’avoue pas vaincue, j’ai envie de trouver cette ambiance décrite dans bien des avis, c’était sans doute le mauvais jour! :)

Je né connaissai pas du tout, et j’y ai été invitée par des habitués du bar.
j’ai été briefée sur l’attitude a avoir dans ce bar à vin… Tout d’abord, né pas commander de bierre.
Ensuite le client roi, ca n’existe pas. C’est comme çà, ca sert à rien de négocier.
Et j’ai vraiment été conquise! Même si j’ai eu une petite appréhension en y rentrant (trop de pression ^^) l’ambiance dedans été … comment dire… hors du temps, géniale.
On a pris des tartines maisons, avec un saucisson vivement conseillé par le patron (impossbile de dire non). Le tout avec un vin du sud-​ouest (dont je serai incapable de vous dire le nom) très agréable.
Le décor est un peu vieillo, mais tellement bien fait.
J’ai donc été conquise.

Si j’avais été un poète maudit, sans nul doute j’aurai été chercher mon âme dans un lieu comme le Nabu.
Petite bulle de bois jaune épargnée par les modes éphémères, on vient ici pour boire un verre de rouge qui a du corps, montrer à quelqu’un qui né connaît pas qu’il y a des endroits qui né changent pas, ou manger une bonne garbure comme chez Mamie.
C’est l’Amoureux qui m’y a emmenée la première fois, et le charme a opéré ! Autour de nous de vielles bougies, un bar de bois bien solide, des «personnages», une gueulante, un air de guitare… Les gérants y sont pour beaucoup, leur gouaille dépoussière l’endroit, et lui donne un je-​né-​sais-​quoi de réconfortant.
Si j’avais des amis pirates (des vrais), c’est au Nabu que je les emmènerai quand ils auraient le mal de leur cale !
En deux mots: anticonformiste & charmant.

Ici, j’ai vu: le patron pointer un très vieux pistolet (de théatre ?) sur un client qui avait osé critiquer la musique.
J’ai vu la serveuse apprendre à un autre client comment faire un café pour qu’il né la dérange pas la prochaine fois.
Une dame dans une immense robe rouge monter sur une table pour chanter dans une langue inconnue et peu reconnaissable. A chaque fois qu’elle marquait le rythme avec son pied, on tremblait pour la table.
Le même patron, me faire déguster du pain d’épice maison après l’avoir trempé dans mon verre de vin (et ses doigts avec, miam.).
Un client sortir en courant à la vue d’une passante: «Madame, vous voulez faire l’amour avec moi? Je crois que j’ai jamais couché avec quelqu’un de droite » !
Tout ça avant 18h.
Et je jure que je n’invente rien.

Quelle joie qu’il existe encore des lieux comme celui ci.
On échappe un peu au formatage. Cet endroit n’est pas comme il devrait être: on boit pas ce qu’on veut, on y mange pas ce qu’on veut. Le client n’est pas roi et est souvent sommé de fermer sa gueule! Et si on est pas content c’est pareil.
Il arrive que de clients amènent à manger, alors on partage. On est pas là pour faire du chiffre!
On a simplement l’impression de trouver ici un reflet du monde d’avant le triomphe définitif des lois du marché. Un lieu qui existe uniquement pour qu’on y soit bien.

Avez vous remarqué le sens du détail dans la décoration du nabu; Elle s’est faite patiemment, d’année en année depuis 1981. Tel élément du décor né trouvant pas sa place: on le vire, ou on le déplace.
Le temps n’a pas la même dimension, ici, c’est le temps géologique qui prévaut, l’élément déplacé, c’est le sédiment, sous la pression des générations de clients, il devient roche, il peut se cristalliser, se gazéifier, tout change, tout mute mais lentement.
Allez au fond du Nabu, poussez la porte. Là rien n’a changé, là, dans les WC réside l’essence du Nabu originel tel que l’a voulu son créateur.
Un regard habitué aux circonvolutions Rolandesques s’aperçoit qu’ici le philosophe du Nabu a voulu exprimer, de manière situationniste, le rapport entre les sexes et le réduire à une question de point de vue.
Point de vue féminin, elles découvrent assises, un savon, un lavabo, les taches ménagères. Une affiche leur inculque inconsciemment le travail de la vigne, les différentes techniques de la taille, la taille longue, la taille courte, le chandelier, le marcotage, la coupe.
Champ, contrechamp, du point de vue masculin, le garçon pissant debout peut tout à loisir se régaler d’une planche de BD de Franquin décrivant une mise en bouteille potache et avinée et complétée par une rabelaisienne carte des vins et des fromages.
C’est aussi intelligent qu’une chanson d’Anne Sylvestre mais plus difficile à décrypter…

Je n’étais pas né quand un philosophe un peu fou a créé ce bar caché dans la rue du Coq d’Inde ou tant de personnes passent devant sans le voir.
Pourtant, quand si connaît le Nabu, on vient facilement aux Carmes pour y boire un ballon de rouge et «parler d’amour à des gens saouls «.
L’ambiance est à nulle autre comparable car on y vient en quête de vérité, de vie, d’amour, de chansons.
On n’y vient pas pour se donner un genre on s’accroche au bar, on s’y marre et on rit
fort toute la journée.
On peut également y manger de bons fromages, ceux qui puent, et si vous tombez sur un bon jour on peut même vous apprendre à les déguster.
Un bar où l’on fait sa vie. Une flopée de jeunes s’y retrouvent et boivent en compagnie des vieux de la vieille, qui sont maintenant chez eux tellement ils sont venus y prendre des cuites.
Que c’est beau.!!

Et Les vendredis soir de l’inégalable, la magistrale BERNI !!!

Quelle découverte ce Nabuchodonosor! Un soir d’hiver, dans l’étroite ruelle du Coq d’Inde, nous étions avec une amie à la recherché d’un troquet… On aperçoit à ce moment là, un tout petit bar enfumé (oui, j’ai bien dit enfumé!), éclairé à la bougie, d’où sortait quelques notes de guitare et des rires bien gras! Intriguées et alléchées, nous avons poussé la porte et nous sommes installées à l’unique table restée disponible. Ici, on fume, on boit du vin, on chante, on rigole, on discute avec chacun, on observe le patron, déguisé ce soir là en Cyrano de Bergerac déclamant des vers et vidant d’autres types de verres!
Une soirée mémorable, hors du temps, déjantée et poétique qui pourtant s’est terminée tôt, car ici la dernière commande est passée avant 20h!
Il faut passer au Nabuchodonosor, et repasser souvent aussi, car les jours où ce bar est ouvert né sont pas si nombreux! Bonne chance à vous.

Dans le quartier des Carmes, dans l’étroite rue du coq d’inde, se terre le Nabuchodonosor.
Ici, pas d’enseigne tape à l’oeil ou de néon racoleur. En poussant la porte qui grince j’entre, dans une autre époque. Derrière le bar, Roland me conte des histoires lorsqu’il n’est pas occupé à dispenser un massage prétendument thérapeutique… Au fourneau, Maggie prépare quelques assiettes de tapas.
Sur les murs sont pendus de nombreux instruments, un oud, deux guitares, un cornet, une trompette… Mais né vous y méprenez pas, ils né sont pas là pour la décoration et il n’est pas rare que les clients les décrochent. Berni, la barmaid du vendredi n’a d’ailleurs pas son pareil pour chanter avec gouaille et conviction, animant ainsi des apéritifs endiablés !
Mais à 20h au plus tard la cloche sonne l’heure des dernières commandes…

C’est un bar à vin, mais attention, au sens littéral! Ici, pas la moindre bière, pas le moindre soda, seulement du vin… et du café tout de même! La soupe paysanne est servie le midi pour seulement 5 euros, les tapas sont auvergnats et on peut y faire un tour de France des fromages.
La décoration n’en est pas vraiment une: le lieu est exigu, les murs jaunis, on dirait que rien n’a bougé depuis un siècle, que Zola aurait pu trouver là le décor de son assommoir!
Au murs pendent de vieux instruments de musique (guitares, bouzouki, cornet à piston) délabrés eux aussi mais en état de marche et à la disposition de qui veut.
Tout ça ressemble à une jolie carte postale, surtout que ça se passé rue du Coq d’Inde, dans le très bobo quartier des Carmes. Mais attention, ici rien n’est factice, le «Nabu» n’a rien d’une attraction branchée ou touristique: il s’agit d’un vrai bar de quartier, avec de vrai gens du peuple dedans.
La devanture n’a rien de tape à l’œil, pas de réclame, pas de «fiesta», c’est un bar de jour: A huit heures, tout le monde dehors!
C’est un lieu ou l’on cause, on chante, on boit, on se rencontre, on s’engueule, tout simplement un lieu ou l’on vit. Bien sur, il y a un pétillant de raisin très peu alcoolisé pour les enfant (qui y sont rares), mais gare à l’embuscade. On en sort rarement en marchant droit!
Comme dit Zébu, le Nabu c’est: «une oasis si c’est ouvert, et pas fermé pour inventaire!» (les jours d’ouvertures sont parfois aléatoires…)

Une très bonne surprise !
Ce bar est un monument peu connu des jeunes et pourtant… c’est une véritable surprise. Essentiellement habité par des habitués, il est extrêmement convivial. Né commandez pas une bière, le patron né vous répondra pas. Ce bar est un vrai bar à vin… de toutes sortes, sélectionnés par le patron ! Un endroit très rigolo à découvrir !

Bar à vin
Certainement, le meilleur bar à vin de la région. Le patron quelque peu excentrique, nous offre une palette de vins régionaux de qualité, une très bonne charcuterie et un choix de fromage digne d’une grande table. Je trouve l’ambiance, souvent musicale, très sympathique.

Iconoclaste !
Un petit bar à vins hors des sentiers battus, où il fait bon prendre le temps de déguster quelques tartines ou saucissons maison accompagnés d’un verre de votre choix… Ici, ambiance assurée ! C’est vrai, les horaires d’ouverture sont un peu aléatoires, au bon vouloir du patron en fait ! Mais cela rajoute au plaisir d’y entrer lorsque c’est ouvert ! A essayer absolumment !